mercredi 16 février 2011

Traduction technique : l’obligation de rester à la page

Dans la traduction technique, il est essentiel tant le rythme des innovations est rapide de se tenir au fait des dernières avancées technologiques pour ne pas perdre son « jargon ». Tout traducteur technique digne de ce nom entretient donc son « savoir dire » tout au long de sa carrière pour rester en phase avec sa discipline.

Traduction technique : une discipline riche de par sa diversité

La traduction technique couvre un vaste champ de domaines. Cela va de l’aérospatiale au nucléaire en passant l’automation, j’en passe et des meilleures.

Face à cette richesse et cette diversité les traducteurs techniques opèrent généralement pour un secteur précis afin de s’assurer de maîtriser parfaitement leur sujet. Bien sur, rien ne les empêche d’évoluer d’une sphère à une autre au cours de leur carrière dans la traduction professionnelle mais cela se fera au prix d’une formation continue incessante et des goûts de chacun pour une discipline en phase avec leurs compétences.

Traduction technique : la partage du savoir

Pour suivre la constante évolution de leur domaine de prédilection, le traducteur technique mènera au long de sa vie professionnelle une veille permanente. Il lira donc la presse spécialisée, participera à des salons ou à des communautés de traducteurs. Des lieux d’échanges tels que les forums lui permettent de confronter ses choix terminologiques avec ses pairs ou encore dans le cadre de plateforme dédiées aux traducteurs professionnels d’avoir accès à des glossaires terminologiques alimentés par la communauté dans un esprit de partage de connaissances.

Traduction technique : capitaliser vos mémoires de traduction

La traduction technique se distingue des autres domaines de traduction par des textes marqués par un taux de répétitions plus fort. D’une version à une autre d’un manuel d’utilisation ou une notice de montage, il est courant de retrouver de larges pans de textes. L’usage d’outil de traduction assisté par ordinateur(TAO) et de mémoires de traduction sont une nécessité pour s’assurer de la cohérence terminologique et de ne pas retraduire ce qui l’a déjà été. Les logiciels de TAO eux aussi changent au fil des ans, il faudra donc s’assurer de « garder la main » afin de convertir ses mémoires d’une version à l’autre et de ne pas perdre ce capital de mots engrangés par l’expérience et des heures de travail.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire