dimanche 20 février 2011

Traduction en anglais, comment faire ?

Dans la perspective d’une traduction en anglais, il faut prendre en considération la destination du document à traduire. Si vous écrivez à un vieil ami anglophone, ce dernier vous pardonnera une traduction approximative réalisée par un service de traduction automatique.

En revanche, si vous avez l’intention de communiquer avec vos clients, vos fournisseurs, une traduction automatique peut au mieux les faire rire, au pire vous discréditer pour longtemps.

La sagesse vous impose de ne pas vous laisser aller à la facilité. Comme on le dit si souvent c’est la première impression qui compte alors ne gachez pas vos chances par soucis d’économie ou par ignorance. Non, la traduction automatique n’a rien de comparable à la traduction humaine.

Un traducteur professionnel vous apportera non seulement sa parfaite maîtrise des langues mais plus encore sa connaissance des subtilités culturelles de vos interlocuteurs. Car sachez le une traduction est toujours réalisée dans sa langue maternelle. De fait, inutile de demander à votre cousin qui rentre d’un séjour à Londres de faire pour vous cette traduction en anglais.

La traduction ne se limite pas à un « tour de passe passe » qui consisterait à substituer des mots dans une langue par une autre. Cet art difficile requiert des années de formation et de pratique.

Si vous craignez de ne pas savoir comment choisir votre traducteur anglais, et cela est compréhensible, (comment donc être certain de ses compétences puisque vous ne serez pas en mesure de juger de la qualité de son travail), la meilleure solution est de faire appel à un intermédiaire.

L’agence de traduction est dans ce cas la meilleure option. Elle aura pour mission de trouver le traducteur anglais compétent selon le cahier des charges que vous établirez ensemble (délais, combinaisons de langues, domaine de spécialisation, format de fichiers, etc…).

Hope that helps.

mercredi 16 février 2011

Traduction technique : l’obligation de rester à la page

Dans la traduction technique, il est essentiel tant le rythme des innovations est rapide de se tenir au fait des dernières avancées technologiques pour ne pas perdre son « jargon ». Tout traducteur technique digne de ce nom entretient donc son « savoir dire » tout au long de sa carrière pour rester en phase avec sa discipline.

Traduction technique : une discipline riche de par sa diversité

La traduction technique couvre un vaste champ de domaines. Cela va de l’aérospatiale au nucléaire en passant l’automation, j’en passe et des meilleures.

Face à cette richesse et cette diversité les traducteurs techniques opèrent généralement pour un secteur précis afin de s’assurer de maîtriser parfaitement leur sujet. Bien sur, rien ne les empêche d’évoluer d’une sphère à une autre au cours de leur carrière dans la traduction professionnelle mais cela se fera au prix d’une formation continue incessante et des goûts de chacun pour une discipline en phase avec leurs compétences.

Traduction technique : la partage du savoir

Pour suivre la constante évolution de leur domaine de prédilection, le traducteur technique mènera au long de sa vie professionnelle une veille permanente. Il lira donc la presse spécialisée, participera à des salons ou à des communautés de traducteurs. Des lieux d’échanges tels que les forums lui permettent de confronter ses choix terminologiques avec ses pairs ou encore dans le cadre de plateforme dédiées aux traducteurs professionnels d’avoir accès à des glossaires terminologiques alimentés par la communauté dans un esprit de partage de connaissances.

Traduction technique : capitaliser vos mémoires de traduction

La traduction technique se distingue des autres domaines de traduction par des textes marqués par un taux de répétitions plus fort. D’une version à une autre d’un manuel d’utilisation ou une notice de montage, il est courant de retrouver de larges pans de textes. L’usage d’outil de traduction assisté par ordinateur(TAO) et de mémoires de traduction sont une nécessité pour s’assurer de la cohérence terminologique et de ne pas retraduire ce qui l’a déjà été. Les logiciels de TAO eux aussi changent au fil des ans, il faudra donc s’assurer de « garder la main » afin de convertir ses mémoires d’une version à l’autre et de ne pas perdre ce capital de mots engrangés par l’expérience et des heures de travail.

dimanche 13 février 2011

Revue de web: blogs et articles sur la traduction

Puisque la pluie est de la partie aujourd'hui, j'ai eu le temps de parcourir la toile pour voir ce qui se disait sur la traduction et le métier de traducteur professionnel.
Et puisque je suis d'humeur à partager, je vous livre en vrac ma revue de web sur la traduction.

Pour ceux d'entre vous qui ignorent vraiment tout de la traduction professionnelle et des subtililités de cet art et qui souhaitent ne pas mourir idiots,
je vous invite à commencer par lire Ce qu’il faut savoir sur la traduction.

Ensuite, si vous êtes encore d'humeur pour apprendre et creuser le sujet, faites donc un tour sur ce billet qui vous révélera la grande différence entre traduction logicielle et TAO:
La Traduction Assistée par Ordinateur et la Traduction Automatique : à chacune sa fonction.

Vous avez encore soif d'apprendre ou vous vous ennuyez profondément ce dimanche, je vous conseille dans ce cas de vous pencher sur le cas de la traduction technique.
Vous ne mesurez pas à quel point elle participe à votre vie quotidienne surtout pour les plus geeks d'entre vous.

Je vous donne pêle mêle 3 articles sur le sujet comme ça vous serez rassasié:

  1. Traduction technique, une demande en perpétuelle croissance
  2. Ne sous estimez pas l’importance de la traduction technique
  3. Et last but not least : Traduction technique, l’obligation d’une veille permanente

J'en ai fini pour aujourd'hui.